Dessine-moi un limule?

Petite pause sans dessin? Ouais bon, mémoire à rédiger et migration des oiseaux à observer. Comme aujourd’hui à Jamaïca Bay à New York (ouais, pourquoi pas aller là où il fait soleil et 30°C?). Des huîtriers, des ibis, des limicoles, etc. Et paraît que c’est la saison des amours des limules. Et parce que je suis trop paresseux pour les dessiner à ce moment-ci, quelques photos de bêtes diverses:

Souvenirs de Bylot – 5f)

(Cliquer sur l’image pour agrandir.)

P. S. : À 35 ans et avec dix ans de métier derrière moi, je me considère enfin capable de faire du crayonné/encré d’une manière à peu près satisfaisante. Il faut éviter que cette technique de pissou ne devienne une béquille, car la meilleure manière de faire un bon dessin vibrant reste de le faire une seule fois, avec un seul trait franc par trait. Tout cet échaffaudage/écrémage est le meilleur moyen de faire de la marde morte. Si on ne maîtrise pas cette technique, on est aussi ben d’y aller direct (à l’encre ou au plomb), quitte à ce que ça soit tout croche. Mais en bande dessinée, c’est un système utile lorsqu’il s’agit de se dépasser et faire des choses plus complexes.

Jimmy Beaulieu

Ça me rassure ou ça me conforte!

Les goélands

Avant de poursuivre avec l’île Bylot et son exotisme, quelques vieux dessins de goélands sur lesquels je suis tombé par hasard en faisant du ménage. Belle coïncidence, je débute ma maîtrise sur ces bêtes cette semaine.