Le Cerf de la discorde – partie 2 : Planches n°22

La 2e partie de mon bédéreportage sur l’impact de la surabondance du Cerf de Virginie au Québec est parue dans le plus récent numéro de la revue Planches. Cette fois-ci, il est question de l’impact du cerf sur l’adaptation des forêts aux changements climatiques. Merci à l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ) qui a financé ce projet avec une bourse d’excellence.

(Pour la première partie du reportage, c’était ici.)

Extrait d'un reportage en bande dessinée sur l'impact du broutement des cerfs sur la migration assistée des arbres dans les forêts du Québec

À noter que ce court reportage en deux parties est le point de départ pour moi d’un nouveau projet de livre.

À suivre!

Le Cerf de la discorde: Planches no.21

Le numéro 21 de la revue Planches est enfin disponible!

Extrait du bédéreportage «L'Abroutissement de la forêt» sur l'impact écologique de la surabondance du Cerf de Virginie sur les forêt du sud du Québec.

Extrait du bédéreportage «L'Abroutissement de la forêt» sur l'impact écologique de la surabondance du Cerf de Virginie sur les forêt du sud du Québec.

Vous y retrouverez la première partie de mon bédéreportage sur l’impact de la surabondance du Cerf de Virginie sur les forêts du sud du Québec. Voici une espèce indigène qui a profité des transformations profondes du territoire de la Montérégie par les activités humaines… jusqu’à nuire aux autres organismes vivants. Quelles solutions à long terme?

Une deuxième partie de ce reportage sera publiée dans le numéro 22 de la revue Planches. Puis, cette courte BD est le point de départ d’un nouveau projet de livre sur lequel je travaillerai durant les deux prochaines années. Merci à l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ) qui a financé ce projet avec une bourse d’excellence.

Le musée

J’en profite pour remercier Evlyn pour près d’un an de petits commentaires qui encouragent et donnent confiance en mes moyens de crayonneux. Merci. On se croisera peut-être dans 30 ans dans une forêt d’épinettes (y aura peut-être juste ça des épinettes dans 30 ans).